Créée en 1834, anciennement Académie de Béziers fondée en 1723

Junior Sans, sous le signe de la navette

L E C O I N D E S CU R I E U X , N ° 34
Portrait de Junior Sans

Junior Sans écrit pour porter le témoignage de ses ancêtres tisserands dont il revendique la filiation en donnant à ses poésies le nom de Telados (toiles) et en écrivant sous le pseudonyme de Felibre de la Naveto. Sur les pas de son père il écrit des palhados, sortes de pièces burlesques composées et jouées pour le carnaval. Il nous explique comment avant lui son père Julien et même son grand-père Antoine écrivaient des Palahados, comme il était de coutume jadis à Béziers.

Poète populaire, Junior Sans, raconte comment pour la première fois, guidé par son père il déclamait des poèmes au Pont rouge devant une foule de 4000 personnes. Il pense et écrit en langue d’oc et son œuvre connue par trois seuls ouvrages reste en partie inédite. Elle est exclusivement consacrée à la description de la vie et des mœurs biterroises. En 1875, lors de la publication de son premier recueil, le Publicateur de Béziers du 24 décembre 1875, compare la muse du poète au charme des femmes du Languedoc :

Livre sur Felibre de la Navete
Maison de Junior Sans, 4 rue de Clairie à Béziers
Pont rouge, lieu du premier discours de Junior Sans
Tombe de Junior Sans

En savoir plus :

L E C O I N D E S CU R I E U X , N ° 34
Portrait de Junior Sans

Junior Sans écrit pour porter le témoignage de ses ancêtres tisserands dont il revendique la filiation en donnant à ses poésies le nom de Telados (toiles) et en écrivant sous le pseudonyme de Felibre de la Naveto. Sur les pas de son père il écrit des palhados, sortes de pièces burlesques composées et jouées pour le carnaval. Il nous explique comment avant lui son père Julien et même son grand-père Antoine écrivaient des Palahados, comme il était de coutume jadis à Béziers.

Poète populaire, Junior Sans, raconte comment pour la première fois, guidé par son père il déclamait des poèmes au Pont rouge devant une foule de 4000 personnes. Il pense et écrit en langue d’oc et son œuvre connue par trois seuls ouvrages reste en partie inédite. Elle est exclusivement consacrée à la description de la vie et des mœurs biterroises. En 1875, lors de la publication de son premier recueil, le Publicateur de Béziers du 24 décembre 1875, compare la muse du poète au charme des femmes du Languedoc :

Livre sur Felibre de la Navete
Maison de Junior Sans, 4 rue de Clairie à Béziers
Pont rouge, lieu du premier discours de Junior Sans
Tombe de Junior Sans

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